Pour l’occasion, deux des trois terrains classiques de simples (de 6,40m de largeur, ou 21 pieds) ont été élargis à 25 pieds (7,62 m), le terrain central de simples se transformant en un petit couloir d’un peu moins de 4m de large (pour s’entraîner à faire des longueurs 🙂 Cette opération n’est possible qu’à Ettelbrück, grâce à leurs deux murs mobiles motorisés.
L’impression d’espace est assez frappante quand on se trouve seul à s’échauffer sur un tel terrain. Il faut aussi faire un bon pas (ou deux petits) en plus pour le traverser ! Et au début, les services et les boasts (F: doubles-murs) n’arrivent pas tout à fait là où on voudrait…
Nos amis d’Ettelbrück avaient bien organisé la soirée, avec des bières (et peut-être d’autres boissons aussi) et un buffet de délicieux sandwiches.
Nous étions finalement à huit, ce qui était évidemment parfait pour jouer en double sur deux terrains.
Chaque équipe a eu l’occasion de jouer contre les trois autres, plus encore l’un ou l’autre match après changement des équipes (changement qui a d’ailleurs occasionné certains quiproquos cocasses, d’anciens partenaires se retrouvant adversaires, mais ne sachant plus vraiment avec qui ils jouaient et quand était leur tour de courir et de frapper la balle!)
Les paires étaient relativement équilibrées : Jean-Claude Schmidt et Thomas Völkening, Frédéric Humbert et Guillaume Plancke, Luca Nadalini et Germain Gregorius, Marcel Kramer et Bernard De Stobbeleir.Néanmoins, Luca et Germain ont eu le dessus en gagnant tous leurs matches ! Félicitations à eux.
Mais en fait, nous avons tous été gagnants, vu la bonne ambiance et le plaisir que nous avons tous pris à jouer.
Pas de blessures à déplorer, juste une grosse crampe au mollet, sans doute due à la motivation et à la surlongueur du terrain 🙂
A essayer en tout cas! Je serai présent la prochaine fois.
Et encore merci à nos hôtes d’Ettelbrück.
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